Dans une veine complètement différente, Marie Sizun décrit avec une tendresse poignante une enfance dans la guerre, marquée par le secret et le non-dit.
Dans Le Père de la petite (publié en 2005 chez Arléa) et La Femme de l'Allemand (Arléa, 2007), elle avait déjà abordé les thèmes de La Maison-Guerre : les rêveries enfantines, la mémoire, la relation mère-fille.
La finesse de son écriture pour exprimer le monde intérieur d'une enfant en pleine tourmente, ses lieux, sa maison, son jardin, fait monter les larmes aux yeux.
C'est cette sensibilité sans sensiblerie qui a conquis la majorité du jury.
Marie Sizun rejoint ainsi les sept premiers lauréats du Prix des Lecteurs A la Page.
L'invitation à venir rencontrer les lecteurs à la rentrée prochaine est d'ores et déjà lancée. Tous à vos agendas !
Un vote, ça se prépare |
Cela dit, pas facile de trancher |
L'urne peut révéler des surprises |
Mais la cuvée 2015 est bonne |
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