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| Marguerite Duras, Le Dernier des métiers, entretiens 1962-1991, Textes réunis, transcrits et postfacés per Sophie Bogaert, Seuil, 444 pages, 22 € |
" Les relations de Marguerite Duras avec les médias sont probablement uniques dans le monde littéraire du XXe siècle, ajoute Sophie Boggaert ; uniques par leur caractère passionnel, et aussi par l'influence qu'elles ont sur la lecture de l'œuvre au point qu'aujourd'hui encore, vingt ans après sa mort, c'est cet aspect du personnage qui reste en mémoire de nombre de gens, plus encore que son œuvre. (...) Chacun a " sa Duras ", celle qu'il moque ouvertement ou qu'il adore secrètement. "
Le Dernier des métiers balaye, au fil des entretiens, un large spectre de sujets qui permettra peut-être de se mettre au net. Jacques Chancel, Bernard Pivot ou, encore, Colette Fellous sont tour à tour les interlocuteurs de Duras.
Le dernier livre d'Alain Vircondelet, président d'honneur de l'association Marguerite Duras, concerne l'été 1945 dans la vie de Marguerite. Sous forme de roman.
Quelque chose laisse à penser que Duras n'aurait pas détesté ce nouveau chapitre.
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| Alain Vircondelet, Cet été-là de braise et de cendres, Fayard, 255 pages, 18 € |
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