Jean-Luc Parant, Mémoire du merveilleux, sous le direction de Kristell Loquet, Actes Sud, 296 pages, 49 € |
Herbier magique, dentelle folle, papillons de jour comme de nuit, bestiaire féérique (un éléphant trotte parmi les étoiles de mer et les galets, au fond de quel océan ?) : l'univers quotidien de Jean-Luc Parant est surabondant.
Surabondance de minéraux, de coraux, de coquilles, d'écailles, d'animaux minéralisés mêlés entourés, recouverts de signes et d'écriture(s).
Un long texte de sa plume (d'oiseau de feu, de terre et d'eau) accompagne ces incrustations visuelles où la nature et le poème s'entrelacent sans fin.
L'album que publie Actes Sud (une fête pour les yeux) comporte une biographie où les principaux jalons de la carrière de Jean-Luc Parant sont posés.
La conclusion ? : "Jean-Luc Parant croit que l'espace visible contient une infinité d'autres visibles qui restent encore à découvrir."
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