Natalia Ginzburg, La Ville qui mène à la ville, roman traduit de l'italien par Georges Piroué Coll. Empreinte, 120 pages, 11,90 € |
Cette collection n'est pas toute récente.
Riche de 77 titres, elle compte des auteurs comme l'Anglais Julian Barnes, le Japonais Abe Kôbô, l'Américain Isaac Bashevis Singer, le Finlandais Ato Paasilina ou le Français Georges Pérec. Entre autres.Les couvertures des nouvelles parutions viennent d'être refaites, proposant un nouveau format et un visuel mieux accordé à l'air du temps. Des préfaces sont confiées à des noms en vue, de la littérature ou du monde de la culture.
Parmi les titres auxquels " Empreinte "redonne vie, le libraire a remarqué Bonjour minuit, de Jean Rhys, avec une préface de Fanny Ardant ; L'Âge difficile, de Henry James, avec une préface de Denis Grozdanovitch
et La Route qui mène à la ville de Natalia Ginzburg, pour qui il avoue avoir un petit faible, préfacé par Marie Darrieussecq.
Natalia Ginzburg (1916-1991) |
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